Chien contre l'homme
Devenir le courage de sa propre fureur. Jeter des cailloux sur un chien qui suit, par intuition amicale, une jeune fille très sympathique.. Il lui donnerait ses pattes si elle les veut. Ce cailloux l’empêche par l’obscurité de la puissance décisive de son lanceur. Qui, à un certain moment, a apprit comment devenir « homme » par milliers d’éducateurs réactives décisives (qui, eux aussi, ont appris par…). Rabaissé par milliers d’arrogants aussi réactives moulés par les éducateurs d’instincts (qui eux aussi…). Sa justice corporelle est finalement : Insulter ce qu’on appelle la justice. Un chien doit être tué…Le monde doit être brûlé. Il se plie sur son propre corps déchiré et il déchire le monde par sa vengeance. Il s’obscurcit ; de moins en moins sensible, de moins en moins réactive : jusqu’au moment où tuer ou ne pas tuer ne fait pas de différence. Par contre, le chien a eu simplement peur. Il n’a montré aucun de ses dents. Il a crié tout simplement
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